un jour, le franc est tombé
dans quelle mesure appeler « usagers faibles » des usagers engendre une dynamique entre les usagers et est-elle choisie?
quand chaque usager est conscient du véhicule qu’il conduit ou pas, du sien comme de celui qu’il croise sur la route, comment cela se passe-t-il?
comment cela se passe-t-il quand chaque usager sait privilégier des bons accords à chaque fois?
où les accords tiennent en compte les risques encourus par chacun, les agréments et les désagréments, variables en fonction des conditions atmosphériques, les vulnérabilités, les priorités dans le choix responsable du moyen de déplacement, une foule de considérations
les lois se trouvant avoir été pensées à une autre époque, où les questions d’aujourd’hui ne se posaient pas, ces lois peuvent se voir actualisées, en partant des motivations reconnues aujourd’hui comme celles plus proches du bons sens d’aujourd’hui
le bon sens d’aujourd’hui, est un des cercles de cette recherche, exposée ici sous forme multiple, essai, formulation définitive, expression de points de vue divers
le bons sens fait sens, il s’impose par le ressenti collectif d’un consensus collectif répondant à l’impression que le point de vue exprimé se trouve en accord avec le ressenti personnel de chacun dans l’assise pour soi et dans l’assise tous ensemble
ici la page modifiable par chacun, terrain de jeu agréable et inventif, explorant, déployant, j’aimerais y voir de tout, en connexion de ce qui est là, conservé pour donner le sens ressenti à ce qui a engendré la suite, laissons ce qui y est, ajoutons nos suites, pour savoir ce que l’un a modifié, et savoir être en mesure de modifier les modifications, comme en d’autres disciplines, quand un raisonnement est explicite et cite les sources, cela permet qu’il soit augmenté, accompagné d’une vision modifiée
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